De très nombreuses collectivités territoriales optent désormais pour la réparation des barrières de voirie et adoptent le remplacement des poteaux de signalisation sur leur territoire. Plus sécuritaire, écologique et rapide, l’Hydro’pot est un système de redresse-poteaux et de réparation des barrières de voirie qui a fait ses preuves. Explications.
Les obligations des collectivités territoriales en matière de mobilier urbain
Le maintien en état du mobilier urbain est à la charge des collectivités territoriales. Cela signifie que les communes ou les regroupements de communes ont investies du budget pour remettre en place les poteaux de signalisation tordus ou les barrières de voirie défectueuses.
Il s’agit d’un pôle très important des dépenses d’une collectivité territoriales. Les poteaux de signalisation et barrières de voirie jouent un rôle crucial dans l’organisation de l’espace public. Il s’agit du mobilier urbain le plus régulièrement abîmé. En effet, il subit les infractions des automobilistes les moins attentifs, les actes de vandalismes, mais également les intempéries. Une barrière de voirie défectueuse ne remplit alors pas ses objectifs : délimiter les espaces de circulation, protéger les zones piétonnes, etc.
Les mairies doivent donc intervenir dans les plus brefs délais afin de constamment maintenir leurs barrières de voiries en place et en état.
Barrières de voirie : réparation plutôt que remplacement
Cette obligation faite aux collectivités territoriales grève considérablement le budget de la collectivité. En effet, afin de remplacer un simple potelet de voirie une commune doit dépenser :
- 300 euros HT pour un nouveau poteau.
- Les frais d’occupation et de travail de plusieurs agents public.
- Le coût des matières premières : béton, goudron et sable de remplacement.
- Les frais d’intervention du génie civil : découpe du béton, potelet retiré, mise en place du nouveau poteau, etc.
Le coût de replacement d’une barrière de voirie est avoisinant, voire supérieur dans la majeure partie des cas. En effet, les barrières de voirie peuvent prendre plusieurs formes : barrières de dégel, de passage ou de restriction de la circulation et sont fixes ou mobiles. Ces raisons ont donc poussé les collectivités territoriales à favoriser la réparation plutôt que le remplacement du mobilier urbain.
Hydro’Pot : la solution pour la réparation des barrières de voirie
Afin d’y parvenir, les collectivités territoriales utilisent un dispositif appelé redresse poteau hydraulique. Avec un système de vérin, l’outil peut être manipulé en toute sécurité par un seul agent public et la réparation des barrières de voirie ne prend que quelques minutes. Très mobile, il se déplace aisément sur tout le territoire de la commune et présente l’avantage non-négligeable de l’économie et de l’écologie. De petite taille, la voirie n’est plus obstruée toute une journée pour réparer la barrière et le matériel ne requiert pas d’opérations de maintien et d’entretien.
En effet, un bon redresse poteaux comme l’hydro’Pot fonctionne avec de l’huile bio-dégradable et le dispositif est certifié de fabrication française. Garanti deux ans, il a été produit à proximité des communes qui l’utilisent et s’adapte à tous les types de poteaux de signalisation, de potelets ou de barrières de voirie, comme les croix de Saint-André.
Contactez Hydro’Pot afin d’en savoir plus sur son dispositif de réparation de barrières de voirie en cliquant sur le lien suivant : https://hydropot.fr/
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